L’entente d’évaluation
Bonne rentrée à tous et à toutes!!
La rentrée est aussi le moment de parler des ententes d’évaluation. Mais, tout d’abord, il est important de rappeler qu’il n’est pas obligatoire de signer l’entente lors de la première séance de cours.
L’entente d’évaluation constitue un contrat entre l’enseignant.e et les étudiant.e.s par rapport au cours (voir les règlement #5 et #8 de l’UQAM) : elle contient le nombre dévaluations, leurs échéances ainsi que leurs pondérations. Au début de chaque session l’enseignant.e présente au groupe cours le syllabus – se trouvant à être une proposition d’entente d’évaluation – qui doit être discuté en classe, qui peut être négocié et sera éventuellement signé par deux étudiant.e.s désigné.e.s par le groupe et ce, dans les deux semaines suivant la présentation. L’entente d’évaluation doit être discutée en classe avant d’être signée!
Important :
– Un examen ne peut valoir plus de cinquante pour cent (50%) de la note finale du cours au premier cycle. Les autres éléments d’évaluation ne sont pas assujettis à cette disposition;
– Si le cours ne comporte qu’un seul travail évalué, celui-ci doit être faire l’objet de plusieurs évaluations au courant de la session;
– Il est possible de rejeter la notation de la présence en classe : elle n’est en aucun cas obligatoire, sauf dans les cas d’un cours-atelier;
– S’il y a des travaux en équipe, l’entente d’évaluation doit préciser quelle proportion de l’évaluation ira à chacun.e, ainsi que les modalités (nombre de membres dans l’équipe, les
aspects du travail qui se feront en équipe ou individuellement, etc.);
– La charge de travail (en termes de présence, d’études et de travaux à remettre) doit être raisonnable, ainsi que les délais de remise des travaux et des corrections.
– Il est important de se renseigner sur les modalités de correction du français, à savoir si elles correspondent à la politique départementale en la matière.
Pour tout savoir sur l’entente d’évaluation : http://afesped.org/academique/ententes-devaluations/